MISSION 1972 MISSION ANTARCTIQUE
En ce début d’année et ce jusqu’en septembre, La Calypso restera le plus clair de son temps au port de Marseille. De son côté, JYC essaie par tous les moyens de relancer son projet d’argyronète (dont les plans furent dessinés par les ingénieurs du CEMA et Pierre Willm) que vient, faute de moyen financer, faire stopper le président de la République de l’époque M. Georges Pompidou. Un livre sur cette aventure sera écrit par Cousteau et Jacquier sous le titre « Français on a volé ta mer ». Mais malgré toutes ces démarches, rien n’y fit. Le projet reprit corps bien des années plus tard en 1990 lorsque M. Henry Germain Delauze, devenu patron de la Comex, racheta le projet.
Malgré cette déconvenue, JYC rebondit et relance le projet : mission antarctique.
Le 29 septembre, pour son départ officiel pour l’antarctique, La Calypso reçoit à son bord le régent du rocher de Monaco où elle est arrimé, la S.A.S Renier ainsi que son fils, le prince Albert.
Après avoir pris la direction des îles du Cap Vert, fait escale à Porto Grande dans l’île San Vincent, là voici dans le port de Rio Janeiro. Là, les hommes de la Nasa l’équiperont d’un radôme de télécommunication qui via le satellite AT53 permet de recevoir une énorme variété de cartes météorologiques. La Calypso se trouve être le premier navire au monde à en être équipé à l’époque.
C’est à Porto Madryn que La Calypso prend livraison de son hélicoptère : Hugues 300 (860 kg, moteur de 190 ch, 3 places pilote commis, autonomie de vol 5 heures)
Tout en continuant son voyage, un peu avant d’arriver dans les eaux de Patagonie, les plongeurs de La Calypso réaliseront un documentaire sur les pingouins « Le vol des pingouins ».En cette année 1972, la Calypso aborde la terre de feu, les hommes de Cousteau tente de noués des rapports avec les indiens de cette région appellés les UNAS que quelques années au paravant le Père Lempereur avait décrit à Cousteau lors de leurs rencontre.
Le 5 novembre, La Calypso franchit le canal de Beagle, c’est à ce moment-là que Simone Cousteau se met à crier « au feu », sur le pont de La Calypso, pour des raisons indéterminées, 3 caisses se trouvent être enflammées. La peinture du roof est celle du plat bord intérieur sont déjà bien marquées lorsque Falco, JM France et le cuistot de La Calypso viennent à bout de l’incendie.
Le 8 novembre, rencontre avec les premiers icebergs. Comme la coutume le veux, JYC avait promis une bouteille de rhum au premier qui apercevrait un iceberg, ce fut Albert Falco et Roger Brenot qui gagnerent la bouteille. Une escale sera réalisée dans le port d’Ushuaia en attendant de retrouver le navire ravitailleur argentin » Le Bahia Aguirre ».
Le 6 décembre 1972, la Calypso confit sa soucoupe plongeante au navire Argentin « Le Bahia Aguirre » . Ce dernier bien plus puissant que Calypso transportera la soucoupe plongeante jusqu’au dernier moment . JYC récuperrera sa soucoupe pour effectuer la mission des l’approche des glaces.
Jusqu’au 28 décembre, l’ambiance est bonne. La Calypso vogue entre les icebergs et d’île en île, explore les fonds sous-mains en soucoupe. Mais, sur l’île de la déception, à 11h30 du matin, en ce 28 décembre, se produit le dramatique accident qui coûta la vie à Michel Laval. Alors qu’il venait, en compagnie de 3 de ces camarades, de crapahuter sur l’île, Michel Laval glisse sur le sol glacé et vient percuter les palles du rotors de l’hélicoptère encore en marche. Sitôt prévenu, le Docteur Joseph François se précipite, mais ne put que constater le décès de son ami.
La Calypso appareille le 29 au matin, drapeau en berne avec la dépouille de Michel Laval. Cousteau laissera une équipe sur le site des explorations et rentrera par avion pour assister aux funérailles de son ami et homme d’équipage. Malgré la douleur, les hommes de La Calypso continueront à rechercher une preuve de changement climatique qui a du se produire il y a bien des millions d’années. Un film en sera tiré : « Le feu et la glace ».
Des l’accident, Cousteau fait appelle à Paul Zuéna afin de venir en aide à l’équipage. Ce dernier prend aussitot l’avion avec le courier de l’équipage, c’est à l’aéroport qu’il rencontre l’un de ces amis qui très choqués de l’accident de son compagnon decide de poser ses bagages et de rentrée en France.Ladiscution fut très courte, traumatisé par le drame, le revenant de l’antarctique ne comprend pas comment Paul peut vouloir ce rendre dans cette enfer blanc qui ne peut être que le linceuil de la Calypso.
Après avoir prit ces fonctions sur la Calypso, il fera une petite erreur, il commandat 250 kgs de poulets au lieu de 250 kgs de viandes rouge. Jean Morgan, cuisinier de calypso les adopta dans plus de 1000 façons.
Le 15 janvier 1973, La Calypso accoste à la base USA de Palmer, sur l’île d’Anvers, avant de plonger et de franchir la limite du cercle polaire (réalisation d’un autre documentaire : « La vie sous un océan de glace »).
Le 14 février, alors que La Calypso entame son voyage de retour, elle se trouve handicapée par la rupture de son arbre porte hélice. C’est à de moment qu’un violent blizzard se lève et enveloppe le navire de JYC d’un linceul de glace. A tout moment, La Calypso risque de sombrer sous le poids de la glace mais, par la bonté du St Esprit et celui de Poséidon, le temps se calme, ce qui permet, malgré son handicap, à La Calypso escortée par le navire de guerre chilien le « Yelcho » de franchir le Cap Horn et d’accoster à Ushuaia le 20 février 1973.
Lorsque Cousteau réparer et réviser Calypso au Chili, là une surprise l’attend lui et ses hommes. Le deuxième hélice qui leurs a permis de ce sortir de leurs aventure ne tenait plus par un seul boulon au lieu de cinqs à l’origine. Si Calypso l’avait perdue, le navire serait devenu totalement incontrolable et Cousteau aurait certainement du fait évaquer son navire .
Durant cette mission, la Calypso fut le tout premier navire a utiliser les nouvelles technologies mises aux point par le NASA? Elle serat équipée d’ordinateurs qui pourront recevoir et enregistrer les informations qui lui sont transmises par les satélites : Nimbus 4; Noa 2; Essa 8.
lors de cette mission, la Calypso procede à des enregistrements continues de la teneur en chlorophyle de l’eau de mer. teneur qui constitue un bon indice de productivité du plancton végétal.
Les résultats, grâce à un procedé spécial de chromatographie, étaient instantanement comparé à des mesures faites par un satéllites artificiels.
Lors de cette mission, il serat réalisé pour la première fopis des prises de vues de calamars vivant en antartique.
Ce serat aussi la première fois qu’un sous-marin scientifique plongera sous la glace de l’antarctique.
Prises de vues pour la première fois du fameux poisson glace le Ice Fish.
Pour la réalisaton du documentire concernant les pingouins, , Philippe Cousteau se lance dans une étude du comportement et sur les valeurs socials des pingouins. Cet animal vit environs 12 ans en liberté et reste fidele a sa compagne durant toute sa vie. il nage ou plutot vol sous la mer à 12 km/h, mais peut atteindre une pointe de 40 kms/h . Des marquages a la bombe de peinture biodégradable rouge sera apposée sur certains animaux se qui facilitera le caméraman qui suivra l’animal lors de sa danse amoureuse et la construction de son nid. l’utilisation d’une des pierre du futur nid offerte à sa courtisane vaut pour le pingouin mâle et femmelle comme une bague de mariage chez l’homme. Les marquages furent réalisés par Albert Falco.Durant cette période, il fut réalisé l’une des toute première prise de vue d’un banc de krills.
ce fut une des premières fois que Philippe Cousteau utilisera le ballon à air chaud de la Calypso.
l’enveloppe de ce dernier était faite de quartier noir et jaune et au 2/3, une bande verte surligne et souligne une bande plus épaisse blanche.
A l’interieur de celle-ci était dessinée le dauphin et la nymphe, emblème de Calypso.
A la base du ballon était inscrit par 2 fois en noir le nom « Calypso » et son numéro d’identification: N1984.
Durant cette mission, 4 documentaires seront réalisés :
- « La glace et le feu »
- « Le vol du pingouin »
- « La vie sous un océan »
- « Blizzard à Espéranza ».
Ainsi qu’un long métrage : « Le voyage au bout du monde ».
Lors de cette mission Antarctique, la Calypso opérait dans une zone que la CBI avait cette année là déclarer être une réserve pour mammifères géants. En plus de 2mois 1/2 de recherche et pas moins de 300 heures de vol en hélicoptère, les hommes de la Calypso on vue que:
2 baleines à bosse
20 cachalots
0 baleine franche
0 baleine bleue
Maigre moisson d’images dans une zone protégè et normalement ou se trouve le garde-mangé de ces mammifères.
Se trouvent à bord de La Calypso :
- Jacques et Simone Cousteau
- Philippe Cousteau: responsable images et son
- Le commandant Brennot
- Le capitaine Alain Bougaran: capitaine de calypso
- Michel Laval: second du capitaine
- Gaston Roux
- Jean Morgan: cuisinier
- Jean-Marie France: chef mécanicien
- Dc Joseph François: médecin du bord
- Paul Zuéna: responsable grue
- Colin Mounier: chef opérateur
- Albert Falco: chef plongeur
- Raymond Coll: plongeur
- François Dorado: plongeur
- Bob Mc Keegan: pilote hélicoptère
- le savant Raymond Duguy: directeur muséum de la rochelle
- François Charlet: deuxième opérateur
- Carlos: océanographe argentin
- Guy Jouas: prise de son
- Christian Bonnici: plongeur
- Louis Prezelin: assistant opérateur
- Jean Paoletti: radio
Logistique pour la mission:
Tom horton
Roger Brenot
Descriptif de l’Argyromètre :
- Ressemble à un sous-marin classique de 300 tonnes
- Longueur : 27.80 m
- Largeur : 6.80 m
- Hauteur : 8.50 m
- Rayon action : 400 miles
- Vitesse surface : 7 nœuds
- Vitesse plongée : 45 nœuds
- Equipage : 6 hommes dont 4 vivent en caisson hyperbar en respirant un mélange héliox et ternaire pour ainsi pouvoir travailler par 600 mètres de fond pendant une période de 8 jours. Les deux autres seront eux les pilotes du sous-marin.
Afin d’améliorer l’évolution de l’homme sous la mer et de lui permettre de travailler à des profondeurs qui lui sont encore interdite. JYC confia le projet de Précontinent 4 à l’ingénieur Jean Mollard et à l’ingénieur Naval Pierre Willm. Il en abouti le sous-marin de plongée profonde d’avant-garde.
L’Argyronète est « l’arme absolue ».
L’Argyronète est conçu pour permettre à 4 océanautes de vivre par -600 m de fond 8 jours consécutifs en travaillant plusieurs heures par jour et ce dans des conditions absolue sécurité.
L’Argyronète qui pèse 300 tonnes, à un équipage » sec » composé de 6 hommes. Sa vitesse de surface est de 7 nœuds contre 4 nœuds en plongée. Son rayon d’action de 400 milles nautiques ( 720 Kms).
Avec l’Argyronète, le navire de surface devient inutile.
Son coût exorbitant et les décisions polistes de l’époque on fait avorter le projet.
Il fut reprit bien des années plus tard par la COMEX qui le mena à bien et créa le SAGA.
fiche du CEMA sur argyronete1